Manuel RABINOVICI
— 2011
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Dans les années 70, Manuel Rabinovici, également connu sous le nom de « MANU », adopta une approche singulière, distincte de celle des « pirates », pour encourager le tourisme et promouvoir un idéal basé sur l’amitié, l’entraide et la moralité au sein de la communauté motarde.
En tant que membre de la Commission Tourisme de la FFM et président du MCCSP, il se distingua par son talent de rassembleur, sa convivialité, son altruisme, et par conséquent, il parvint à redynamiser son club qui glissait doucement dans l’apathie.
C’est sous sa direction que le rassemblement de la Bastille émergea de manière involontaire. Les « cheminots », en attente sur la place, rassemblaient suffisamment de participants pour rejoindre leur garage souterrain, limitant ainsi les perturbations sonores à une seule occurrence. Naturellement, d’autres motards commencèrent à faire halte sur la place de la Bastille chaque vendredi soir. C’est ainsi que né la « bastoche ».
La moto fut l’essence même de sa vie, son unique moyen de déplacement, sans recours à une voiture. Le titre de « Chevalier Motocycliste » lui conviendrait certainement. Il nous quitta en 2011.
En tant que membre de la Commission Tourisme de la FFM et président du MCCSP, il se distingua par son talent de rassembleur, sa convivialité, son altruisme, et par conséquent, il parvint à redynamiser son club qui glissait doucement dans l’apathie.
C’est sous sa direction que le rassemblement de la Bastille émergea de manière involontaire. Les « cheminots », en attente sur la place, rassemblaient suffisamment de participants pour rejoindre leur garage souterrain, limitant ainsi les perturbations sonores à une seule occurrence. Naturellement, d’autres motards commencèrent à faire halte sur la place de la Bastille chaque vendredi soir. C’est ainsi que né la « bastoche ».
La moto fut l’essence même de sa vie, son unique moyen de déplacement, sans recours à une voiture. Le titre de « Chevalier Motocycliste » lui conviendrait certainement. Il nous quitta en 2011.
par Antoine, d’après les propos de Gilles Gouais | 2020