Bavardages motocyclistes !
groupe de quidams ayant une activité commune
action de se réunir que ce soit de manière officielle, privée ou spontanée
personne qui utilise une motocyclette
Bonjour à toutes et à tous,
Je souhaite vous rappeler les éléments essentiels de « Concentres d’Hier », qui se composent de trois supports distincts : un site web et deux groupes Facebook.
— Le site [https://concentres-dhier.eu] est l’épine dorsale de cette initiative depuis 2009. Il se concentre exclusivement sur les rassemblements, les concentrations, les rallyes et les déplacements touristiques en moto, avec une limite temporelle fixée à 1990. Il constitue la pièce maîtresse du concept « Concentres d’Hier », où je stocke mes recherches sous forme de fiches explicatives, accompagnées de photos, de témoignages et d’anecdotes. Ce site est accessible à tous et est alimenté grâce à une base de données, vos explorations, vos contributions, ainsi que la page du groupe FB « Concentres d’Hier ».
— Le groupe FB « Concentres d’Hier » [https://www.facebook.com/groups/2172770856281347], créé à la fin de 2016, est un espace privé visant à éviter tout débordement. Sa mise en ligne a pour objectif d’assurer une réactivité accrue, de recueillir des informations et de faciliter la communication entre vous, par exemple lors de retrouvailles d’anciens membres d’un club.
— Le groupe FB « Concentres d’Hier, de nos jours » [https://www.facebook.com/groups/591051882532752], créé mi-2022, répond à la volonté de certains membres de partager leurs activités motardes plus récentes, voire celles à venir. L’objectif de ce groupe public est de permettre l’évocation de rassemblements récents, en maintenant une authenticité et un respect de la tradition des événements passés. Il est essentiel de demeurer dans l’authentique et de respecter la discrétion souhaitée par certains organisateurs.
En espérant que ces explications clarifient la structure de la famille « Concentres d’Hier ».
Amicalement,
Antoine
Je souhaite vous rappeler les éléments essentiels de « Concentres d’Hier », qui se composent de trois supports distincts : un site web et deux groupes Facebook.
— Le site [https://concentres-dhier.eu] est l’épine dorsale de cette initiative depuis 2009. Il se concentre exclusivement sur les rassemblements, les concentrations, les rallyes et les déplacements touristiques en moto, avec une limite temporelle fixée à 1990. Il constitue la pièce maîtresse du concept « Concentres d’Hier », où je stocke mes recherches sous forme de fiches explicatives, accompagnées de photos, de témoignages et d’anecdotes. Ce site est accessible à tous et est alimenté grâce à une base de données, vos explorations, vos contributions, ainsi que la page du groupe FB « Concentres d’Hier ».
— Le groupe FB « Concentres d’Hier » [https://www.facebook.com/groups/2172770856281347], créé à la fin de 2016, est un espace privé visant à éviter tout débordement. Sa mise en ligne a pour objectif d’assurer une réactivité accrue, de recueillir des informations et de faciliter la communication entre vous, par exemple lors de retrouvailles d’anciens membres d’un club.
— Le groupe FB « Concentres d’Hier, de nos jours » [https://www.facebook.com/groups/591051882532752], créé mi-2022, répond à la volonté de certains membres de partager leurs activités motardes plus récentes, voire celles à venir. L’objectif de ce groupe public est de permettre l’évocation de rassemblements récents, en maintenant une authenticité et un respect de la tradition des événements passés. Il est essentiel de demeurer dans l’authentique et de respecter la discrétion souhaitée par certains organisateurs.
En espérant que ces explications clarifient la structure de la famille « Concentres d’Hier ».
Amicalement,
Antoine
J’exprime mon admiration et mon intrigue pour les rassemblements motocyclistes des années 1960-70 et du début des années 80. N’ayant commencé à participer à de telles rencontres qu’à la fin des années 1970, je souhaite recueillir des informations, anecdotes, histoires et images liées à cette période.
Aucun média n’a approfondi ce sujet, et j’encourage les anciens participants à partager leurs souvenirs, albums et témoignages pour préserver la mémoire collective face aux risques d’oubli et de détérioration du temps.
Aucun média n’a approfondi ce sujet, et j’encourage les anciens participants à partager leurs souvenirs, albums et témoignages pour préserver la mémoire collective face aux risques d’oubli et de détérioration du temps.
L’entre-deux-guerres a marqué l’essor des motoclubs en France, avec une affiliation naturelle à la Fédération Française de Motocyclisme. Les manifestations étaient organisées de manière solennelle, répondant au besoin d’ordre dans la vie quotidienne des motocyclistes. Les Rallyes Routiers et les Audax étaient populaires, offrant le plaisir de rouler, de visiter et de la compétition.
Dans les années 50, l’immatriculation de motocyclettes neuves a chuté face à l’arrivée massive des petites voitures, entraînant une crise pour l’industrie moto. Malgré cela, les motards se réunissaient spontanément, formant des bandes ou créant des sections dans des clubs existants. Les années 60 ont vu une activité moto au plus bas, mais des rassemblements ont persisté malgré un environnement défavorable.
À la fin des années 60, l’arrivée d’une nouvelle génération et la montée de la production japonaise ont influencé le milieu motard. La jeunesse, majoritairement d’origine modeste, aspirait à une nouvelle liberté, rejetant le système social en place. Les motos japonaises ont captivé un nouveau public et dynamisé l’industrie européenne.
La jeunesse en quête de nouveaux repères a vu l’émergence des premiers rassemblements, permettant aux motards d’affirmer leur refus des autorités. Les clubs officiels et les concessionnaires se sont ensuite intéressés au phénomène. Au début des années 1970, pour contrer cette mainmise, des clubs non affiliés ou indépendants, appelés « pirates », ont émergé, axant leur activité sur la route et les rassemblements.
Avec une population motarde en expansion, les valeurs d’amitié, de convivialité, d’entraide et d’aventure ont été véhiculées lors des rassemblements des années 1960-70, émergeant d’un contexte politico-social complexe pour atteindre leur apogée.
Dans les années 50, l’immatriculation de motocyclettes neuves a chuté face à l’arrivée massive des petites voitures, entraînant une crise pour l’industrie moto. Malgré cela, les motards se réunissaient spontanément, formant des bandes ou créant des sections dans des clubs existants. Les années 60 ont vu une activité moto au plus bas, mais des rassemblements ont persisté malgré un environnement défavorable.
À la fin des années 60, l’arrivée d’une nouvelle génération et la montée de la production japonaise ont influencé le milieu motard. La jeunesse, majoritairement d’origine modeste, aspirait à une nouvelle liberté, rejetant le système social en place. Les motos japonaises ont captivé un nouveau public et dynamisé l’industrie européenne.
La jeunesse en quête de nouveaux repères a vu l’émergence des premiers rassemblements, permettant aux motards d’affirmer leur refus des autorités. Les clubs officiels et les concessionnaires se sont ensuite intéressés au phénomène. Au début des années 1970, pour contrer cette mainmise, des clubs non affiliés ou indépendants, appelés « pirates », ont émergé, axant leur activité sur la route et les rassemblements.
Avec une population motarde en expansion, les valeurs d’amitié, de convivialité, d’entraide et d’aventure ont été véhiculées lors des rassemblements des années 1960-70, émergeant d’un contexte politico-social complexe pour atteindre leur apogée.