TRANSALP HONDA
Ce fut une épreuve touristique, organisée par Honda Japon, dans les Alpes.
En 1977, il y eut deux sessions, l’une en juillet (≃ 140 motos) et l’autre en août (≃ 180 motos).
Le départ était donné à Graz (Autriche) et l’arrivée à Monaco. Un itinéraire de 3000 kilomètres, dont 1000 km de pistes et de chemins douaniers était à parcourir en trois semaines, avec sept points de contrôle.
Pour ce voyage alliant découverte et aventure, seules les motos 4 temps, de série, étaient admises. Outre, bien évidement, les modèles de l’époque de la marque Honda, on y trouvait les autres marques nippones, quelques italiennes ainsi que quelques anglaises, dont deux Norton, qui rallieront la Principauté sans encombre.
Les machines purement routières furent plus que sollicitées ! L’entraide était de mise pour pousser ou tirer les bécanes dans les passages très pentus ou trop périlleux. Notons qu’il y eut plusieurs accidents.
Il fut prévu de s’essayer au speedway sur le circuit de Boussy (Haute-Savoie) et de tourner sur le circuit du Castellet.
On devinera aisément que le nom donné à ce raid était destiné à baptiser la future production de la marque : la Transalp. C’était la mode, comme la Ténéré chez Yamaha ou la Baja chez Guzzi.
En 1977, il y eut deux sessions, l’une en juillet (≃ 140 motos) et l’autre en août (≃ 180 motos).
Le départ était donné à Graz (Autriche) et l’arrivée à Monaco. Un itinéraire de 3000 kilomètres, dont 1000 km de pistes et de chemins douaniers était à parcourir en trois semaines, avec sept points de contrôle.
Pour ce voyage alliant découverte et aventure, seules les motos 4 temps, de série, étaient admises. Outre, bien évidement, les modèles de l’époque de la marque Honda, on y trouvait les autres marques nippones, quelques italiennes ainsi que quelques anglaises, dont deux Norton, qui rallieront la Principauté sans encombre.
Les machines purement routières furent plus que sollicitées ! L’entraide était de mise pour pousser ou tirer les bécanes dans les passages très pentus ou trop périlleux. Notons qu’il y eut plusieurs accidents.
Il fut prévu de s’essayer au speedway sur le circuit de Boussy (Haute-Savoie) et de tourner sur le circuit du Castellet.
On devinera aisément que le nom donné à ce raid était destiné à baptiser la future production de la marque : la Transalp. C’était la mode, comme la Ténéré chez Yamaha ou la Baja chez Guzzi.
Pour compléter cet article je recherche :
— le nom des organisateurs
— l'existance d’éventuelles autres éditions
— le nom des organisateurs
— l'existance d’éventuelles autres éditions
par Antoine | 2021
Commentaire
message 001 - 2022 - de Thierry Garnier
Le principal organisateur fut Marcel Robin, président du Moto-Club de la Villette (Paris 75019)...
Avant de reprendre en mains le Goldwing Club de France...
J'apporterai plein de choses sur la Transalp sous peu...
Le principal organisateur fut Marcel Robin, président du Moto-Club de la Villette (Paris 75019)...
Avant de reprendre en mains le Goldwing Club de France...
J'apporterai plein de choses sur la Transalp sous peu...