CONFRÉRIE DES CHEVALIERS MOTOCYCLISTES
La Confrérie des Chevaliers Motocyclistes, une naturelle entente de motards.
Dans les années 60 et début 70 les « bouclards motos » n’étaient pas légion, en dehors de la région parisienne et des grandes villes, alors avec des pétoires, plus ou moins fiables, les galères sur la route étaient fréquentes. D’où cette recherche d’amicale et solidaire assistance.
Avec l’arrivée des bécanes japonaises, un peu mieux foutues et les « Trente Glorieuses » aidant, le nombre de motos en circulation et la presse moto explosèrent, tout en n’attirant pas que du « beau monde ». Le SOS Kradnetz en Allemagne, le Bro en Scandinavie et le Club 59 en Angleterre existaient déjà comme réseaux d’entraide pour le dépannage et l’hébergement.
L’idée de faire le pendant francophone vint du trio M. Perdrix, J-M. Debonneville et Kiki Blanchot. Des contacts ont été pris avec Jean Delain pour la Belgique.
Pour éviter les problèmes dans la mesure du possible, les premiers membres furent choisis par le trio, avec bien évidemment l’accord des intéressés.
La première réunion eut lieu à côté de Provins, pour aller sur la tombe de M. Perdix qui avait disparu, peu avant, dans un accident. Les trois premières réunions se déroulèrent aux alentours de Provins. Par la suite, pour que ce ne soit pas toujours les mêmes qui bouffent du km, l’endroit permuta à chaque réunion. L’organisation revenait chaque fois à un membre différent et changeait de région chaque fois. Il y avait deux réunions par an. Après la mort de Kiki et la démission de J-M. Debonneville (qui avait d’autres projets) et un petit moment de flou, il fut décidé de continuer ; désormais celui qui organisait, était le « patron » du moment.
Dans toute association, il y a ceux qui la quittent et les nouveaux venus, l’objectif dès le début n’était pas d’avoir des tas de membres mais d’en avoir une centaine répartis sur un territoire le plus vaste possible. Ce chiffre n’a été que rarement dépassé.
La CCM prône encore l’entraide et l’amitié.
Dans les années 60 et début 70 les « bouclards motos » n’étaient pas légion, en dehors de la région parisienne et des grandes villes, alors avec des pétoires, plus ou moins fiables, les galères sur la route étaient fréquentes. D’où cette recherche d’amicale et solidaire assistance.
Avec l’arrivée des bécanes japonaises, un peu mieux foutues et les « Trente Glorieuses » aidant, le nombre de motos en circulation et la presse moto explosèrent, tout en n’attirant pas que du « beau monde ». Le SOS Kradnetz en Allemagne, le Bro en Scandinavie et le Club 59 en Angleterre existaient déjà comme réseaux d’entraide pour le dépannage et l’hébergement.
L’idée de faire le pendant francophone vint du trio M. Perdrix, J-M. Debonneville et Kiki Blanchot. Des contacts ont été pris avec Jean Delain pour la Belgique.
Pour éviter les problèmes dans la mesure du possible, les premiers membres furent choisis par le trio, avec bien évidemment l’accord des intéressés.
La première réunion eut lieu à côté de Provins, pour aller sur la tombe de M. Perdix qui avait disparu, peu avant, dans un accident. Les trois premières réunions se déroulèrent aux alentours de Provins. Par la suite, pour que ce ne soit pas toujours les mêmes qui bouffent du km, l’endroit permuta à chaque réunion. L’organisation revenait chaque fois à un membre différent et changeait de région chaque fois. Il y avait deux réunions par an. Après la mort de Kiki et la démission de J-M. Debonneville (qui avait d’autres projets) et un petit moment de flou, il fut décidé de continuer ; désormais celui qui organisait, était le « patron » du moment.
Dans toute association, il y a ceux qui la quittent et les nouveaux venus, l’objectif dès le début n’était pas d’avoir des tas de membres mais d’en avoir une centaine répartis sur un territoire le plus vaste possible. Ce chiffre n’a été que rarement dépassé.
La CCM prône encore l’entraide et l’amitié.
par la C.C.M. | 2020
Commentaire
• de Guido Vanderest | message 001 – 2019
– Le Kradnetz SOS était l’œuvre de Wolfgang Kremer. C’était une communauté non organisée. Vous vous engagiez à aider les autres pilotes au mieux de vos capacités. Une brochure a été distribuée dans toute l’Europe (numéros de téléphone, atelier, garage, arrêts de nuit, pièces de rechange). Un rassemblement fut également lancé. Le lien avec le Touring Kalender était évident !
– Jean Delain fut vice-président du RMU Wavrien et délégué de la commission concentrations tourisme à la FMB. Il a obtenu son premier brevet des 1 000 km en 1971. Toujours très impliqué dans la Randonnée de l’Amitié.
– Le Kradnetz SOS était l’œuvre de Wolfgang Kremer. C’était une communauté non organisée. Vous vous engagiez à aider les autres pilotes au mieux de vos capacités. Une brochure a été distribuée dans toute l’Europe (numéros de téléphone, atelier, garage, arrêts de nuit, pièces de rechange). Un rassemblement fut également lancé. Le lien avec le Touring Kalender était évident !
– Jean Delain fut vice-président du RMU Wavrien et délégué de la commission concentrations tourisme à la FMB. Il a obtenu son premier brevet des 1 000 km en 1971. Toujours très impliqué dans la Randonnée de l’Amitié.