ARGUIS
par Alain Giraud | 2020
Belle concentre à ARGUIS, organisé par le Moto-Club Monrepós, dans les Pyrénées espagnoles.
En 1977 je l’ai faite avec une BMW r/50 et en 1978 et 1979 avec une BMW R90/6. D’ailleurs ces photos c’est 1978, mais j’ai retrouvé 1977 avec mon R/50 prise de derrière.
Putain que c’était dur de passer le col du Somport en plein hiver, je m’étais tellement caillé en 1977 que l’année suivante en 1978, j’avais fait des moufles aux poignées de ma 900 BM dans un vieil anorak, et je portais mon pote « tintin » tétanisé par le froid.
Je me souviens qu’une fois arrivés à Arguis on a siroté « oun carajillo » un café avec du cognac brandy, ça nous a foutu un de ces coups de fouet et si on n’en prenait plusieurs, on ne sentait plus les coups de fouets. On dormait par – 10° sous la tente et le matin on se levait avec tous les affaires gelées et l’incontournable Théo, toujours de bonne humeur avec sa barbe toute blanche… de gel.
Qu’est-ce que j’ai passé comme bon moment, quand même, quand j’y pense avec tous ces motards baroudeurs et ce grand moto-club pyrénéens d’Oloron-Sainte-Marie.
On se revoit de temps en temps, on fait quelques sorties, rassemblement, journée promenade, circuit de Nogaro 32 et d’Arnos 64 vielles motos et quand on parle des concentres d’hier, c’est exactement le but de ton site…
[NDLR : Cette concentre a débuté en 1974. Son principe est très simple : feux de camp, buvettes et motards…]
En 1977 je l’ai faite avec une BMW r/50 et en 1978 et 1979 avec une BMW R90/6. D’ailleurs ces photos c’est 1978, mais j’ai retrouvé 1977 avec mon R/50 prise de derrière.
Putain que c’était dur de passer le col du Somport en plein hiver, je m’étais tellement caillé en 1977 que l’année suivante en 1978, j’avais fait des moufles aux poignées de ma 900 BM dans un vieil anorak, et je portais mon pote « tintin » tétanisé par le froid.
Je me souviens qu’une fois arrivés à Arguis on a siroté « oun carajillo » un café avec du cognac brandy, ça nous a foutu un de ces coups de fouet et si on n’en prenait plusieurs, on ne sentait plus les coups de fouets. On dormait par – 10° sous la tente et le matin on se levait avec tous les affaires gelées et l’incontournable Théo, toujours de bonne humeur avec sa barbe toute blanche… de gel.
Qu’est-ce que j’ai passé comme bon moment, quand même, quand j’y pense avec tous ces motards baroudeurs et ce grand moto-club pyrénéens d’Oloron-Sainte-Marie.
On se revoit de temps en temps, on fait quelques sorties, rassemblement, journée promenade, circuit de Nogaro 32 et d’Arnos 64 vielles motos et quand on parle des concentres d’hier, c’est exactement le but de ton site…
[NDLR : Cette concentre a débuté en 1974. Son principe est très simple : feux de camp, buvettes et motards…]